Chaque jour, les médias de masse, continuent d'abreuver nos pensées et nos émotions de reportages et d'images de guerres, de crises, de terreur et d'abus de pouvoir, de sensations bon marché et d'informations inventées de toutes pièces. De la sorte, ceux qui détiennent le pouvoir espèrent maintenir les humains sous leur coupe et dans une relation d'assujetissement. De fait, pour peu que nous n'accordions notre attention qu'à ce type d'évènements, nous entrons, la plupart du temps sans en avoir consience, en résonnance avec leurs vibrations basses, et notre énergie les soutient. Même si les guerres, attentats terroristes et abus de pouvoir nous révulsent, nous révoltent, nous horrifient, nous faisons inconsciemment le jeu de la non-Lumière. En effet, tant que nous réagissons à ces dérives avec indignation, colère, fureur voire haine, nous renforçons le pouvoir de la non-Lumière, car elle se nourrit justement de ces énergies à basse vibration. Agir de manière lumineuse est une toute autre affaire, comme le répète Christina à l'envi. Si nous ancrons véritablement notre conscience dans la Lumière, nous percevons bel et bien l'injustice et les abus, mais ne permettons plus qu'ils maintiennent notre fréquence à un faible niveau. Nos réactions correspondent, alors, à la vibration du pardon et de l'amour, et non à celle de l'accusation et du jugement. Elles ne se situent pas davantage au niveau des vibrations de l'indifférence, car il est tout aussi peu recommandé de porter naïvement des oeillères et de faire comme si les forces obscures n'existaient pas...

page 220, Christina. La Vision du Bien. Bernadette von Dreien. Edition Govinda-Verlag 

"La vie de chacun d'entre nous est marquée par une triple anxiété : la peur de la destruction, le désespoir devant l'absurde et la détresse de l'isolement. L'homme cherche donc sans cesse - qu'il le sache ou non - la sécurité, le sens de la vie et l'amour. Il s'aperçoit cependant qu'au-dessus de toute vie il y a la mort, que toute quête du sens du monde échoue devant l'incompréhensible, et que tout amour, accompli dans l'unité avec le "toi", est menacé de finir. L'homme est donc habité par la nostalgie inassouvie, consciente ou non, d'une vie qui soit au-delà de la mort, d'un sens au-delà du sens et du non-sens de ce monde, et d'une protection que rien ne puisse mettre en danger."

K. G. Dürckheim, "méditer"

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1. Tu recevras un corps. Que tu l'aimes ou le haïsse, il sera tien pour toute cette période de vie.

2. Tu apprendras des leçons. Tu es enrôlé à plein temps dans une école informelle appelée vie. Dans cette école, chaque jour, tu auras la possibilité d'apprendre des leçons. Il se peut que tu aimes ces leçons ou bien que tu les trouves hors de propos ou stupides.

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Il était une fois une femme qui s'installa dans une grotte, dans la montagne, pour recevoir l'enseignement d'un gourou. Elle voulait, disait-elle, apprendre tout ce qu'il y avait à  savoir. Le gourou lui procura des piles de livres et la laissa étudier seule. Tous les matins, il revenait à la grotte pour évaluer ses progrès. Il tenait à la main une lourde canne de bois. Tous les matins, il lui posait la même question: "As-tu appris tout ce qu'il y a à savoir ?". Et tous les matins la femme lui faisait la même réponse: "Non, pas encore"... Là-dessus, le gourou lui assenait un coup de canne sur la tête.

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Si tu peux voir détruit l'ouvrage de ta vie
Et sans dire un seul môt te mettre à rebâtir,
Ou perdre en un seul coup le gain de cent parties
Sans un geste et sans un soupir,
Si tu peux être amant sans être fou d'amour ;
Si tu peux être fort sans cesser d'être tendre
Et , te sentant haï, sans haïr à ton tour,
Pourtant lutter et te défendre;

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"Nous dépendons les uns des autres dans plusieurs domaines, n'est-ce pas ? Nous dépendons du boucher, boulanger, du fabricant de chandelles. Interdépendance. C'est parfait ! La société est ainsi faite et différentes fonctions sont attribuées à des personnes dans l'intérêt collectif. Nous sommes alors en mesure de fonctionner plus efficacement et de vivre mieux - du moins nous l'espérons. Mais que veut dire dépendre psychologiquement - ou émotionnellement - de quelqu'un d'autre ? Cela veut dire que l'on dépend d'un autre être humain pour être heureux.

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Un soir, un vieil Amérindien parlait à son petit-fils du combat qui se livre à l'intérieur de chacun de nous. Il l'expliquait comme suit: 'Il y a deux loups en chacun de nous.

Le loup du Mal. C'est la colère, l'envie, la jalousie, la tristesse, le regret, l'avidité, l'arrogance, l'apitoiement, la culpabilité, le ressentiment, l'infériorité, le mensonge, l'orgueil, la supériorité et l'ego. Le loup du Bien. C'est la joie, la paix, l'amour, l'espérance, la sérénité, l'humilité, la bonté, la bienveillance, l'empathie, la générosité, la vérité, la compassion .

Après y avoir réfléchi pendant un instant, le petit-fils demande: 'Grand-papa, quel loup gagne?' Il lui répond simplement: "Celui que tu nourris".
Auteur inconnu

Tout être vivant a de l'énergie. Sans elle, il serait mort. Nous avons tous de l'énergie physique, émotionnelle, mentale, d'âme et spirituelle. Chacune de ces énergies est reliée à son propre niveau ou corps. Nos énergies émotionnelles proviennent donc du corps émotionnel ou astral, etc. pour les autres corps. Ces aspects non physiques, porteurs d'énergie, sont les corps subtils de l'être humain. Les émanations de ces corps subtils créent une sorte d'aura, de champ radiant qui enveloppe le corps physique, aura qui peut être perçue par certains. Tous ces corps subtils ont un impact sur le corps physique.

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